Oh James, tu ne t'imagines pas à quel point tu me manques....[ PV NYMPHADORA]

Les nuages épais empêchaient aux rayons du soleil de passer, ce qui baissait la température du lieu. Ce n'était pas très pratrique, il faisait déjà assez froid. Lorsque j'atteris ici de mon transplanage, mes pieds s'enfoncèrent dans la haure poudreuse. J'avais attéris devant la maison de James, que je n'osais pas regarder, combattant mes larmes. J'avais toujours une robe miteuse, mais mes yeux miel étaient fermés, de peur que quelqu'un vit mes larmes. James, pourquoi toi? Il y avait eut si peu de chances que ce toi, mais tu y avais eus quand même le droit. A grands pas, je marchai rapidement, refusant de regarder cette maison qui était sa dernière demeure. Ta mort était comme fermer un livre, un livre qui contenait notre histoire, aux Maraudeurs. Sirius et moi étions les derniers membres de ce groupe, les pires délinquants de Poudlard. J'étais sûr que même Fred et George nous arrivèrent à la cheville. J'entrai alors dans le cimetière et mes pas me guidèrent vers ta tombre. J'avais un bouguet de fleurs en main. Lorsque je vis ton nom, ces larmes contenus en moi-même se libérèrent. Et je pleurai. Je pleurai toutes les larmes de mon corps. Cette époque d'innocence me manquait, elle me manquait à un point inimaginable. Lorsque je voyais la Carte de Harry entre ses mains, je repensai à tous les souvenirs de sa création. Et à Peter... Ce traître... je le haïssais, il nous avait trahi. Mes yeux reflétait en cet instant le côté loup, celui du prédateur. Je t'aurais tuer Peter, si Harry n'avait pas été là à ce moment là, Sirius et moi nous nous serions fais un plaisir... Chaque larmes qui tombait faisait un trou dans la neige. L'une était de tristesse envers toi, l'autre de fureur envers Peter. Si un jour je metterai la main sur Peter, je me serais venger, avec qui qu'il soit. Et dire que je le traitais comme un ami...
Dans ma tristesse mélée à la rage, j'étais devant ta tombe. Je n'entendais rien. Je ne faisais repensé qu'au bon vieux temps...