Qui vais-je maudir aujourd'hui ? [Libre =D]

PNG Nombre de messages : 2 Date d'inscription : 10/01/2009

Ludwig sortie de Poudlard, une longue cape noire avec capuchon recouvrant entièrement son corps et son uniforme.
Il ne pouvait pas supporter la lumière du jour sur sa peau blanche si fragile. C'est pour cette raison que dés qu'il sortait il enfilait un grand vêtement noir ample et épais ne laissant passer aucun rayons de lumière. Certains élèves le trouvait terrifiant, même parmi sa maison et tout le monde sans exception l'évitait. Même le fantôme farceur évitait de lui chercher des noises. Pourtant, cela n'empêchait absolument pas Ludwig d'accomplir sont passe temps favoris qui était de maudire les gens. Le jeun homme se dirigea tranquillement mais rapidement lorsqu'il passait dans des zones de lumières vers la tête du sanglier. Il était particulièrement discret et on avait l'impression qu'on voyait une ombre. Finalement il arriva à sa destination final, le bar pas très net de Prés au Lard, la tâte de sanglier. Ludwig aimait bien cet endroit, personne le regardait de travers, venait lui demander ce qu'il faisait ou autre. Et puis il aimait bien le patron, quand Ludwig aime bien quelqu'un cela veut dire qu'il n'a pas l'intention de la maudire. C'est tout, rien de plus. Rare sont les personnes qui ne souhaites maudirent, on peut les compter sur les doigts d'une main !
Le jeun homme poussa et entrât dans l'enseigne lugubre à souhait. Qu'il appréciait cet endroit ! Il se dirigea d'un pas assurer vers ça place habituel. Il pourrait y aller les yeux fermer. Bien entendus il n'y avait personne... La serpantard fit un signe de tête polie au patron et sortie de sa cape une feuille et un papier tandis que le tavernier lui servait la boisson qu'il commandait chaque fois. Le verre était remplie désormais d'un liquide vert fluorescent peu engagent. Le sorcier but une gorgée et commença à marquer sur sa feuille quelques noms au hasard. Mais ce qu'il allait faire n'était pas au hasard, Il allait ensuite tous les maudire, et si possible faire des poupées vaudou à leurs effigies. Cette fille l'avait regardé de travers, à et lui avait une sale tête, à encore ce garçons qui ne cessait de dire du mal de lui, et puis il y avait aussi les professeurs qui osaient toujours lui faire des remarques désobligeantes ou lui mettres des mauvaises notes. Oui, la liste s'allongeait rapidement. Il allait bien s'amuser...

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